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Dust, le film

Film allemand + sous-titres + lieu de musée d'art = ack. J'aurais dû savoir dans quoi je m'embarquais lorsque j'ai assisté à cette sélection du Festival du film environnemental.

La poussière en tant que sujet peut être intéressante (j'en suis fascinée depuis que j'ai lu pour la première fois la théorie selon laquelle l'épidémie de fièvre aphteuse en Grande-Bretagne aurait pu provenir d'une poussière soufflée du Sahara), mais ce film n'est qu'un sujet; ce n'est pas une histoire. Il n'y a pas grand-chose qui relie les segments à l'exception du titre.

Il y a de bonnes idées, mais à 90 minutes, le film était deux fois plus long qu'il aurait dû l'être. Le cinéaste aurait pu se concentrer sur son point de vue sur la manière dont les humains sont la source de la poussière, mais nous continuons dans une bataille sans fin pour nous en débarrasser. (Il y avait un segment très amusant dans lequel le photographe attrape une femme alors qu'elle nettoie son appartement. Elle est tellement obsédée par le nettoyage qu'elle dit qu'elle mettra même régulièrement sa télévision hors service pour se débarrasser de la poussière.) Il y a également des informations sur la science de la poussière, comme son implication dans la formation des planètes, mais elles se perdent dans ce film.

Plusieurs personnes se sont levées et ont quitté le théâtre au bout d'une heure environ. J'aurais été avec eux, sauf que je n'avais pas envie de retourner sous la pluie aussi rapidement.

(Image reproduite avec la permission de la NASA, créée par Jesse Allen, à l'aide des données fournies par l'équipe de réponse rapide MODIS)

Dust, le film